Foule de gens interconnectés

Nos étoiles : Jack Hughes, Conseil canadien des affaires

Jack Hughes headshot | Photo de profil de Jack HughesDepuis près de deux ans, Jack Hughes œuvre pour le Conseil canadien des affaires (« CCA ») à titre de premier vice-président, Planification et opérations, poursuivant un parcours varié qui l’a vu être actif au sein du gouvernement ainsi que dans les sphères du droit, des relations publiques et des affaires publiques.

Larry Elliot, associé directeur régional du bureau d’Ottawa, a supervisé son travail à l’époque où il était stagiaire, puis jeune avocat; ils sont restés en contact après le départ de Jack à l’agence internationale de relations publiques Hill+Knowlton, et le sont encore à ce jour. Voici ce qui ressort de cette entrevue qui les a vus explorer vingt années passées à viser l’excellence professionnelle.

Les gens d’abord – dès BLG

Jack Hughes dit avec fierté être un ancien du cabinet : « BLG continue d’avoir une place spéciale dans mon cœur; le temps que j’y ai passé représente un chapitre important de ma carrière. »

Il estime que c’est au cabinet qu’il a saisi l’importance des communications convaincantes, ce que Larry considère d’ailleurs comme un point fondamental de l’art du plaidoyer. Le souci du détail, la concision, la rédaction énonçant la conclusion en premier lieu : tous ces éléments sont importants.

« La défense des intérêts – qui fait la renommée du groupe Litiges de BLG, non seulement au Canada, mais partout dans le monde – a tenu une grande place dans chaque poste que j’ai occupé », ajoute Jack.

Pendant qu’il était au cabinet, il a aussi noué des relations durables, en a appris beaucoup sur le leadership et a travaillé avec certains des juristes les plus notables au pays. « J’ai eu l’honneur et le privilège d’épauler Guy Pratte au cours de l’affaire Mulroney-Schreiber, se remémore-t-il. Pendant que j’étais au cabinet, deux anciens premiers ministres – de différents partis – ont dit avoir besoin de la meilleure équipe juridique, et se sont tournés vers BLG. On ne peut rêver de mieux. »

Au sujet de Gerry Stobo, Barbara McIsaac, Peter Thompson, feus David Scott et Bruce Carr-Harris, et John O’Toole, qui ont été des modèles pour lui chez BLG, Jack dit chérir d’innombrables anecdotes à leur sujet. Il s’est efforcé de garder contact avec les membres de son réseau après son départ du cabinet, ce qu’il estime judicieux de faire, socialement et professionnellement. Selon lui, les événements organisés par BLG, notamment ses webinaires, sont essentiels pour maintenir les liens dans cette période postpandémique en constante évolution.

« Les initiatives de formation juridique continue de BLG sont fantastiques. Le cabinet met aussi de l’avant des articles de leadership éclairé pourtant sur des sujets d’importance grandissante comme le respect de la vie privée et la protection des données, l’IA, la cybersécurité, les véhicules autonomes et les questions de responsabilité qui s’y rapportent, » ajoute Jack. Il s’agit là de thèmes opportuns pour le cabinet qui vient de célébrer ses 200 ans et qui, maintenant plus que jamais, façonne l’avenir du droit.

Un leadership éclairé d’envergure mondiale

Jack est hautement stimulé par son travail au sein du CCA. Selon lui, l’organisme « se compose de chefs et de cheffes de la direction œuvrant pour des entreprises comptant parmi les plus importantes du Canada qui, bien qu’ayant leur propre entreprise à diriger, prennent le temps de réfléchir ensemble aux enjeux majeurs actuels et aux intérêts du pays. Ils et elles nous donnent des perspectives inestimables sur différents secteurs à l’échelle nationale. »En plus de gérer les activités courantes du CCA, Jack assume des tâches de planification stratégique qui nécessitent aussi d’adopter une vision d’avenir. Le CCA fait régulièrement appel à des spécialistes de partout dans le monde – des leaders d’une variété de domaines, des sciences et des technologies jusqu’à l’économie et à la politique – pour enrichir les stratégies de ses membres.

Jack surveille trois risques distincts pouvant toucher la résilience des grandes institutions du Canada.

« Le premier constitue le contexte géopolitique, explique Jack. La presque totalité de nos membres a des activités à l’échelle mondiale, et les tensions géopolitiques partout sur le globe entraînent de sérieux risques touchant les politiques publiques. Le deuxième est lié aux technologies, comme l’IA, dont la montée transformera assurément les entreprises dans un avenir rapproché. Le troisième est la situation démographique; le changement de garde sur le plan générationnel révèle des lacunes en matière de compétences et des différences de perspectives, qui forcent le monde des affaires à s’adapter aux communications accélérées et aux différentes valeurs professionnelles. »

Un sourire approbateur pour BLG

Récemment, en coulisse du sommet Rebuild Ukraine, Jack a accompagné Goldy Hyder, chef de la direction du CCA, à une rencontre privée avec l’ambassadrice Yulia Kovaliv après qu’elle eut terminé de discuter avec des membres d’une entreprise ukrainienne venue au Canada pour trouver des partenaires interentreprises dans le cadre d’un projet lié à une écotechnologie.

Elle leur a présenté ses interlocuteurs en précisant que leur entreprise a recours aux services d’un cabinet juridique canadien, BLG. M. Hyder a répondu que Jack y avait fait ses débuts, ce qui a été accueilli par un sourire et une chaleureuse poignée de main. « J’étais fier de cette nouvelle connexion. Apprendre que j’avais travaillé chez BLG avait changé la donne », a conclu Jack.


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